Depuis plusieurs années maintenant, la FTQ travaille en coalition dans le cadre de divers dossiers, entre autres avec le Collectif 8 mars : avec les autres organisations syndicales et les groupes de femmes. Ces trois dernières années, les thèmes choisis par le Collectif 8 mars pour la Journée internationale des femmes ont tous été liés à la Marche mondiale des femmes : en 1999, 2000 bonnes raisons de marcher; en 2000, 2000 bonnes raisons de marcher… pour que ça change!; et en 2001, Plus que jamais, fortes et déterminées.

Le Collectif 8 mars prépare également le matériel commun pour tous les groupes : une affiche thématique, des épinglettes et des dépliants. Cette année, le Service de la condition féminine de la FTQ a coordonné tout le travail du Collectif 8 mars, la production et la distribution de tout le matériel, la comptabilité, etc. La FTQ a également appuyé financièrement la FFQ dans l’organisation d’un « teach-in » sur les femmes et la mondialisation.

Chaque année, en plus de participer au Collectif 8 mars, le Service de la condition féminine voit à la préparation d’une lettre aux affiliés pour l’occasion, à la diffusion du matériel via les Conseils régionaux, à l’organisation d’une conférence de presse et/ou d’un communiqué, à la réalisation d’un numéro du bulletin NouvElles et à la production d’une publicité FTQ-Fonds dans le cahier spécial du journal Le Devoir pour le 8 mars. Nous participons également à diverses activités et conférences.

En outre, le Service rédige des articles thématiques (conciliation travail-famille, assurance parentale, équité salariale) qui sont publiés dans le cahier spécial du journal Le Devoir.

En 1999, la FTQ rendait public un rapport de recherche (CINBIOSE-UQÀM-FTQ) intitulé Des congés d’abord à la charge des parents en emploi, lequel démontre qu’en vertu du système actuel où l’on doit recourir à l’assurance-emploi si l’on est admissible, ce sont les parents travailleurs qui doivent absorber une large part des frais associés à la venue d’un enfant.