Profil du groupe 12

LE COLLÈGE FTQ-FONDS
Synthèse de l’autoportrait
Groupe 12 – Printemps 2005

La composition du groupe
Ce douzième groupe du Collège FTQ-FONDS est composé de 17 personnes, dont six femmes, provenant de neuf syndicats différents. Ce groupe compte cinq personnes employées par un syndicat (5) ou le Fonds de solidarité (1) qui sont à plein temps. Les douze autres personnes sont soit des élues (10) principalement à la présidence ou à la vice-présidence de leur section locale, soit des responsables de comité (2). Parmi ces douze personnes, trois sont libérées à plein temps, une à mi-temps, sept occasionnellement et une jamais.

La moyenne d’âge de ce groupe s’élève à 41 ans, avec un écart allant de 24 à 53 ans. La présence des jeunes dans ce groupe est remarquable puisque huit personnes ont entre 24 et 39 ans, les neuf autres ayant entre 40 et 53 ans. La majorité du groupe (dix) ne vit pas en couple; ceux et celles qui sont en couple sont surtout des personnes de 40 ans et plus. Dix personnes ont des enfants; au total, ils en ont 19 et vivent avec eux soit à temps plein (9), soit à temps partiel (4), soit encore pas du tout (6). Les enfants ont entre 7 et 24 ans : dix ont moins de 15 ans et neuf ont 17 ans et plus, dont trois au début de la vingtaine.

Près de la moitié du groupe (8) vient de Montréal. Les autres viennent respectivement de Trois-Rivières (2), de la région de Lanaudière (2), de Québec (2), du Saguenay (1), de la Montérégie (1) et de la Côte-Nord (1).

Les syndicats et les secteurs représentés
Plusieurs syndicats ont envoyé deux ou trois personnes à ce collège. Il s’agit du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), de l’Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC), du Syndicat des Métallos, du Syndicat québécois des employés et employées de service, section locale 298 (SQEES-298) et du Syndicat des employés et employées professionnels et de bureau (SEPB). Les autres syndicats ont envoyé une personne chacun : Association des manœuvres interprovinciaux (AMI), Association internationale des machinistes et travailleurs de l’aérospatiale (AIMTA), Syndicat canadien des communications, de l’énergie et du papier (SCEP), Union des employés et employées de service, section locale 800 (UES-800), Syndicat des travailleurs et travailleuses des Postes (STTP). Enfin, une personne est envoyée par le Fonds de solidarité.

La majorité des participants et des participantes (9) travaille ou a travaillé dans le secteur public, parapublic ou péripublic : commissions scolaires et universités (4), municipalités et sociétés d’état telles la Société immobilière du Québec et la Société canadienne des Postes (4), gouvernements provincial et fédéral (2). Les autres viennent du secteur privé (7) : industries manufacturières (2), construction (1), mines (1), centre d’hébergement pour personnes âgées (1), entreprise de transport aérien (1). Une personne vient du secteur des organismes à but non lucratif spécialisée dans le tourisme.

Comme dans l’ensemble de la société, le secteur des services est fortement représenté : éducation et santé (5), transport, communications et services publics (7), autres services (1). Le secteur manufacturier et la construction comptent trois personnes et le secteur primaire, une personne.

L’expérience syndicale des participants et participantes
Les participantes et participants de ce groupe sont relativement nouveaux à leur poste : ils ont en moyenne six ans d’expérience à leur poste actuel; cinq d’entre eux se démarquent par une ancienneté de 10 ans et plus. Les cinq personnes qui occupent des postes permanents sont relativement nouvelles : quatre d’entre elles sont là depuis 5 ans ou moins. L’expérience militante est plus longue avec une moyenne de 12 ans : le groupe compte toutefois sept personnes qui ont 15 ans d’expérience et plus.

La formation

La scolarité
Au niveau de la formation scolaire, la majorité des participants et participantes de ce groupe ont complété leur cours secondaire (13 sur 17). Certains (5) ont fait un cours professionnel ou de métier en électricité, en mécanique, en soudure, en comptabilité. Plusieurs (8) ont obtenu un diplôme d’études collégiales dont la moitié au secteur général et la moitié au secteur technique dans les domaines du génie électrique, du secrétariat, des finances, de l’imprimerie. Quelques personnes (4) ont obtenu un certificat universitaire dans les domaines suivants : ressources humaines, formateur en milieu de travail, administration, gérontologie. Deux personnes détiennent un baccalauréat universitaire dont une en science politique et l’autre en loisirs.

Trois personnes ont commencé des études qu’elles n’ont pas complétées : l’une au certificat en administration, et deux autres à la maîtrise en administration publique et en science politique.

La formation en emploi
Le tiers des membres du groupe (6) a suivi de la formation professionnelle en emploi donnée par l’employeur dans les domaines suivants : signalisation routière, opération de machines Xérox, moteurs d’avion, soudure, pneumatique, hydraulique, pétrochimie, amiante, soudure, santé-sécurité, administration, etc.

Le tiers des membres du groupe (5) a suivi des cours de perfectionnement professionnel à leur propre initiative en électricité d’usine, en imprimerie, en électricité, en prévention d’incendie, etc.

La formation personnelle
Trois personnes ont suivi des formations en fonction de leurs intérêts personnels en administration, en anglais, en radioamateur, loisirs, tourisme, psychologie, prévention du suicide.

Les formations suivies dans les syndicats
En plus de leur expérience pratique, tous les participants et participantes ont profité de la formation syndicale pour développer leurs compétences et leurs habiletés. En moyenne, ils et elles ont suivi 9 cours et sept personnes ont fait plus de 10 cours de formation syndicale.

Les cours les plus fréquemment suivis préparent aux fonctions principales dans le travail syndical à la base (45) :
 Mon syndicat (3)

 La, le délégué syndical (12)
 Rôle des dirigeants et dirigeantes syndicales et des exécutifs (9)
 Dossier grief à l’arbitrage (7)
 Négociation collective (5)
 Procédures d’assemblées (3)
 Règles de preuve et procédures (2)
 Interprétation et analyse de la convention collective (4)

En second lieu viennent les cours de santé et de sécurité du travail (15) :
 Santé sécurité, cours de base (10)
 Enquête d’accident (3)
 Formateur en SST (2)

Ensuite, viennent les cours reliés aux problèmes de santé de nos membres (9) :
 Délégué social (4)
 Relation d’aide (2)
 Harcèlement au travail (3)

Enfin, plusieurs cours variés montrent l’étendue des intérêts des participants et des participantes :
 Retraite (7)
 Communication (5)
 Leadership (4)
 Assurance-emploi (3)
 Responsable local du Fonds (2)
 Équité salariale (2)
 Programme d’accès à l’égalité (1)
 Évaluation des emplois (1)
 Journal syndical (1)
 Mondialisation (1)
 Règlement de problèmes (1)
 Recrutement (1)
 Obligation d’adaptation (1)
 Jurisprudence (1)

Enfin, sept personnes du groupe ont suivi une ou des formations pour devenir formateur ou formatrice syndicale. Cinq d’entre elles ont donné quelques sessions de formation au cours de la dernière année.

Les emplois des participants et participantes
Les métiers et emplois occupés par les participants et participantes actuellement ou avant d’être plongés dans la vie syndicale sont diversifiés. Près de la moitié des participants et des participantes se consacrent au travail syndical à plein temps; cinq d’entre eux sont employés dans un syndicat ou au Fonds de solidarité et les trois autres sont libérés de leur poste pour faire du travail syndical. Sept personnes occupent ou occupaient un emploi de col bleu ou de métier : mécanicien, électricienne, technicien en aéronautique, assembleur, réparateur de wagon, préposé à la signalisation, manœuvre spécialisé. Cinq personnes occupent ou occupaient des emplois de bureau ou de col blanc : agente de bureau, agente de planification, opérateur copieur couleur et de reliure, inspecteur en bâtiment et percepteur de taxes, postier. Enfin, quatre personnes occupent des emplois de services aux personnes en éducation, en santé et en loisir : préposée aux bénéficiaires, éducateur en service de garde, auxiliaire d’enseignement, animateur de loisirs. Enfin, une personne a occupé un poste de direction dans un organisme gouvernemental.

Environ le tiers du groupe (7) travaille ou a travaillé pour une grande entreprise de plus de 500 employés. Un autre tiers (6) provient d’entreprises de 100 à 499 employés. Les autres travaillent soit pour des entreprises de 50 à 99 employés (2), soit pour des entreprises de 10 à 49 employés (2).

Habiletés de communication et technologiques
Parler devant des groupes est une pratique occasionnelle pour les participants et participantes de ce groupe. La fréquence de la pratique diffère au sein du groupe : six personnes le font quelques fois par semaine, six autres quelques fois par mois et cinq, quelques fois par année. Le groupe est toutefois divisé en deux sur l’aisance à parler en public : huit personnes se sentent très à l’aise et neuf plus ou moins à l’aise.

L’écriture de textes n’est une pratique fréquente que pour la moitié du groupe (8) qui dit écrire quelques fois par semaine; l’autre moitié (9) se divise entre ceux qui écrivent quelques fois par mois (5) et quelques fois par an ou jamais (4). La moitié du groupe se dit très à l’aise pour écrire (9) alors que l’autre moitié (8) se dit peu à l’aise.

Les langues
La langue anglaise n’est pas connue de la majorité des participants et des participantes : 15 personnes disent le parler avec difficulté (12) ou pas du tout (3). On lit l’anglais avec difficulté (8) ou pas du tout (3) dans 11 cas sur 17. Enfin, on l’écrit avec difficulté (7) ou pas du tout (7) dans 14 cas sur 17. Trois personnes disent lire l’anglais sans difficulté mais avoir du mal à le parler et à l’écrire. Une personne lit et écrit sans difficulté sans être capable de le parler. Enfin, deux personnes peuvent se dire bilingues et donc à l’aise pour parler, lire et écrire l’anglais. Une seule personne du groupe a appris le russe et dit se débrouiller dans cette langue.

Les ordinateurs
La majorité du groupe semble relativement à l’aise avec l’informatique. Toutefois, deux personnes n’ont jamais touché à un ordinateur et cinq autres peuvent être considérés comme de faibles utilisateurs de l’informatique. La majorité des participants et des participantes (12) ont un ordinateur à la maison. Quelques-uns (7) ont un ordinateur à leur usage exclusif au travail. Parmi les 15 personnes qui utilisent l’ordinateur, les deux tiers (10) utilisent l’ordinateur quotidiennement, les autres l’utilisant quelques fois par semaine (2) ou rarement (3). Cinq personnes utilisent l’ordinateur seulement pour le travail, neuf pour le travail et les loisirs et une seulement pour les loisirs.

Parmi les utilisateurs de l’ordinateur, un peu plus de la moitié du groupe (9) se dit très à l’aise avec l’ordinateur alors que l’autre tiers se dit plus ou moins à l’aise (3) ou pas du tout à l’aise (3).

Toutes les personnes qui se disent très à l’aise avec l’ordinateur aiment aussi beaucoup travailler avec l’ordinateur. Les autres personnes aiment un peu (2) utiliser l’ordinateur ou encore sont indifférents (2) ou encore pas du tout (2).

La majorité des personnes utilise l’ordinateur principalement pour le courrier électronique (12), l’Internet (11) et l’écriture de textes (11). On l’utilise moins souvent pour entrer et traiter des données sur un chiffrier (5), pour inscrire ses tâches et ses rendez-vous à l’agenda (5), pour faire des présentations visuelles (4).

Perceptions et attentes

Les forces
Les participants et les participantes savent reconnaître leurs forces et identifient de nombreuses qualités personnelles. En tout premier lieu, beaucoup de personnes se disent déterminées, fonceuses, vaillantes, persévérantes et capables d’aller au bout de ses convictions. On se dit aussi dynamiques, positifs avec le « désir de nous faire avancer collectivement » et le plaisir de relever des défis. On se reconnaît aussi une « grande facilité d’adaptation », de la patience, du calme, de la compréhension, de la générosité, de la disponibilité. Enfin, plusieurs se disent aussi intègres dans leur travail, honnêtes, loyales, capables de reconnaître leurs erreurs.

Plusieurs personnes ont mentionné des qualités sociales comme le leadership, la capacité de rassembler, de mobiliser, de travailler en équipe et d’être solidaire. On dit aussi être capable d’écoute active, d’empathie, d’ouverture aux autres, de respect, de sympathie. On « aime écouter, parler et partager avec les gens qui m’entourent ». Enfin, certains mentionnent avoir des qualités d’orateur, être à l’aise pour parler et communiquer en public.

Quelques personnes ont dit avoir « une soif insatiable d’apprendre » et estiment avoir des qualités intellectuelles de rigueur dans le travail, de vivacité d’esprit, d’intelligence. On précise qu’on a une bonne capacité de compréhension, d’analyse, de discernement, de critique, de poser des questions et de synthèse.

Ce qu’on veut améliorer au Collège
Pour mieux faire leur travail syndical, les participantes et participants veulent principalement améliorer leurs capacités de communication. On veut « améliorer les relations interpersonnelles afin de diminuer les réactions spontanées », apprendre les rudiments de la psychologie et de l’écoute active. On veut aussi apprendre à mieux exprimer sa pensée, à mieux parler et à mieux écrire.

Plusieurs personnes font aussi part de leur désir d’améliorer leur façon de jouer leur rôle syndical. On veut « développer une meilleure technique globale dans l’approche de mon rôle ». Plus précisément, on veut « améliorer les techniques de rencontres patronales / syndicales », obtenir les « outils afin de faire face à divers problèmes qui peuvent arriver au cours d’une vie syndicale », apprendre « la procédure pour bien monter nos dossiers de griefs », les manières d’améliorer la « relation avec nos membres » et « savoir diriger un groupe ». On cherche aussi à « développer la capacité stratégique pour améliorer des interventions ».

Dans le même esprit, on veut améliorer notre équilibre de vie pour faire le travail syndical. Comme l’écrit une personne : « Je souhaite améliorer ma capacité à fixer mes limites au travail et à déléguer les tâches syndicales. En effet, je suis une personne qui adore le travail d’équipe mais qui a toujours peur de demander aux autres de l’aide. » D’autres parlent de développer leur sens de l’organisation, la planification ainsi que leur capacité à gérer la pression au point de vue émotionnel.

Plusieurs mentionnent vouloir améliorer leur compréhension du monde : « mieux comprendre les changements qui touchent notre monde », « approfondir mes connaissances » et « élargir ma vision au niveau des enjeux actuels ». On veut avoir l’occasion de comprendre, de questionner, d’écouter et de débattre sur des sujets importants comme la politique et l’économie. On veut aussi développer son esprit de synthèse.

Enfin, on mentionne aussi l’amélioration des connaissances en informatique.

Les attentes face au Collège

Au plan des connaissances théoriques
Parmi les connaissances théoriques que l’on souhaite acquérir, plusieurs personnes mentionnent l’histoire syndicale. On veut mieux connaître l’évolution du monde syndical, « les valeurs d’hier à aujourd’hui » pour comprendre les transformations que nous vivons, pour être prêts pour les défis de demain.

En deuxième lieu, on mentionne les « grands concepts du monde syndical » et l’évolution des négociations, fronts communs, partenariats.

On veut aussi apprendre à faire des analyses, développer la rigueur et la capacité de raisonnement, apprendre à faire un projet synthèse avec ce que cela comporte au plan des méthodes de recherche.

Enfin, on mentionne aussi la connaissance des lois du travail et des techniques de négociation et de défense des griefs.

Au plan des habiletés pratiques
Le tiers des participants et des participantes souhaitent développer leur compétence en informatique.

C’est dans la même proportion que l’on veut développer ses capacités de communication. Quelques personnes mentionnent vouloir apprendre à exprimer ses idées de façon cohérente ainsi que sa capacité d’argumenter. Au plan de la communication écrite, on veut développer l’habileté à prendre des notes rapidement et efficacement, la capacité d’écrire clairement et simplement, la composition et la présentation de textes. La communication orale est aussi mentionnée par quelques personnes. On veut aussi améliorer ses relations avec les membres au plan de la sensibilisation et de la mobilisation.

Quelques personnes mentionnent qu’elles souhaitent développer leur capacité à développer des stratégies, à analyser des situations complexes pour mieux intervenir. On veut aussi développer sa créativité.

Au plan des habiletés personnelles
Les habiletés personnelles que l’on souhaite développer portent principalement sur la communication. On veut exprimer sa pensée de façon claire et être plus à l’aise pour parler en public. En particulier on mentionne la communication avec les médias et l’argumentation lors de débats. On veut aussi apprendre à mieux écrire. Enfin, quelques personnes mentionnent qu’elles souhaitent améliorer leur écoute.

Parmi les autres habiletés personnelles, on mentionne l’amélioration de la confiance en soi et de l’assurance devant l’inconnu, la connaissance de ses faiblesses et de ses forces, le leadership, la capacité à s’investir personnellement, la créativité.

Les appréhensions
La moitié des personnes ont exprimé quelques appréhensions face au Collège. Parmi ces personnes, la moitié craint l’inconnu, « le retour sur les bancs de l’école », le « gros travail » du Collège perçu comme un cours universitaire, les exigences comme le projet d’action, l’informatique, les statistiques, etc. On soulève aussi la difficulté de la conciliation travail-famille, les différents niveaux d’expérience professionnelle des participants, la crainte que le Collège ne favorise pas « l’accès à un esprit intègre et à la libre pensée ».

Conclusion
Ce groupe est aux deux tiers composé de personnes élues et au tiers de femmes. La moitié des participants et des participantes de ce groupe a moins de 40 ans, ce qui en fait un groupe relativement jeune. L’expérience au poste syndical actuel est assez récente mais l’expérience militante moyenne est plus longue, un peu plus du tiers du groupe comptant 15 ans et plus d’expérience. La moitié du groupe vient de la région montréalaise, les autres provenant des diverses régions du Québec.

Ce groupe est relativement scolarisé : près de la moitié des participants et des participantes a obtenu un diplôme collégial et près du tiers a obtenu un diplôme universitaire. En moyenne, le groupe a suivi plusieurs sessions de formation syndicale avant de venir au Collège. Au plan des capacités en informatique, plus de la moitié du groupe se dit très à l’aise alors que l’autre moitié souhaite améliorer ses capacités dans ce domaine.

Les membres de ce groupe se reconnaissent aussi des forces personnelles de détermination et de capacité d’adaptation ainsi que des qualités de rassembleur. Pour mieux faire leur travail syndical, ils et elles souhaitent améliorer leurs compétences en communication, leur façon de jouer leur rôle syndical tout en se préoccupant de leur équilibre de vie et leur compréhension du monde. Au plan des connaissances, on veut en savoir plus sur le syndicalisme et son histoire. Au plan des habiletés pratiques, on veut développer ses capacités de communication orale et écrite et sa capacité stratégique. Au plan des habiletés personnelles, on veut développer l’écoute active et la confiance en soi.

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