2006.04.28
2006.04.28
La FTQ salue l’entente sur le bois d’oeuvre
Montréal, jeudi 27 avril 2006 – La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) salue l’entente conclue aujourd’hui dans le dossier du bois d’œuvre qui devrait mettre fin à des années d’incertitude dans ce secteur et permettre d’aller de l’avant en donnant un peu d’oxygène à cette industrie et à ses travailleurs qui en ont bien besoin.
« Même si cette entente n’est pas parfaite, elle devrait apporter un peu d’espoir aux travailleurs des scieries, de la forêt, de cette industrie qui fait vivre directement et exclusivement plus d’une centaine de municipalités dans la majorité des régions du Québec », a fait valoir le président de la FTQ, M. Henri Massé.
La FTQ demande que le gouvernement fédéral adopte dès maintenant, entre autre à l’occasion du budget de mardi prochain, des mesures pour venir en aide aux travailleurs de ce secteur par des programmes d’aide aux travailleurs âgés, des programmes de reclassement de la main-d’œuvre et des garanties de prêt aux entreprises.
La FTQ salue l’entente sur le bois d’oeuvre
Montréal, jeudi 27 avril 2006 – La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) salue l’entente conclue aujourd’hui dans le dossier du bois d’œuvre qui devrait mettre fin à des années d’incertitude dans ce secteur et permettre d’aller de l’avant en donnant un peu d’oxygène à cette industrie et à ses travailleurs qui en ont bien besoin.
« Même si cette entente n’est pas parfaite, elle devrait apporter un peu d’espoir aux travailleurs des scieries, de la forêt, de cette industrie qui fait vivre directement et exclusivement plus d’une centaine de municipalités dans la majorité des régions du Québec », a fait valoir le président de la FTQ, M. Henri Massé.
La FTQ demande que le gouvernement fédéral adopte dès maintenant, entre autre à l’occasion du budget de mardi prochain, des mesures pour venir en aide aux travailleurs de ce secteur par des programmes d’aide aux travailleurs âgés, des programmes de reclassement de la main-d’œuvre et des garanties de prêt aux entreprises.
« On sait d’expérience que les retombées et les résultats concrets d’ententes comme celle conclue aujourd’hui avec les américains prennent souvent des semaines, sinon des mois à se concrétiser sur le terrain.
« Les travailleurs et leurs familles n’ont pas le temps d’attendre, c’est aujourd’hui qu’ils vivent les effets de la crise, que leurs emplois, leurs maisons, leurs économies sont en jeu. C’est maintenant qu’il faut agir », a fait valoir pour sa part le vice-président au Québec du Syndicat des communications, de l’énergie et du papier (SCEP), M. Clément L’Heureux.
« Le gouvernement du Québec a déjà fait un bon bout de chemin dans cette voie dans son dernier budget, c’est maintenant au gouvernement fédéral de mettre l’épaule à la roue. Donnez un peu d’espoir à ces travailleurs, à leurs familles, à des communautés entières qui dépendent de la forêt », a conclu le président de la FTQ.
La FTQ est la plus grande centrale syndicale québécoise avec plus de un demi-million de membres. Elle est, et de loin, l’organisation qui représente le plus grand nombre de travailleurs de la forêt avec son affilié, le Syndicat des communications, de l’énergie et du papier (SCEP)