2000.04.11

2000.04.11

Concours « Chapeau, les filles » 2000 – La FTQ félicite les lauréates régionales pour leur détermination

Montréal, 11 avril 2000 – La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) félicite les lauréates et les participantes régionales du concours « Chapeau, les filles! » 2000 pour leur détermination à vouloir travailler dans un métier non traditionnel.

« Pour en arriver où elles en sont aujourd’hui, il leur a fallu une bonne somme de courage et d’amour de leur métier, mentionne René Roy, secrétaire général de la FTQ. Nous saluons leurs efforts. »

Partenaire du concours pour une deuxième année consécutive, la FTQ est heureuse de contribuer tant au volet régional que national pour encourager les femmes à relever le défi que représente l’accès à un emploi non traditionnel.

« Les syndicats ont un important rôle à jouer pour aider les femmes à accéder à des métiers d’avenir, à des emplois mieux rémunérés et plus stables, à des conditions de travail plus intéressantes, fait valoir Johanne Vaillancourt, vice-présidente de la FTQ. Nous sommes également là pour les soutenir afin qu’elles restent dans ces métiers. C’est pourquoi nous voulons faire notre part pour améliorer les conditions de travail des femmes et freiner l’emploi à statut précaire. » Le travail précaire se traduit par des emplois à temps partiel, sur appel, à contrat, temporaire, à la pièce ou à la pige.

La contribution de la FTQ comprend aussi le Prix Équité, une bourse nationale de 1 000 $ qui sera accordée le 8 mai prochain à une travailleuse qui occupait un emploi à statut précaire et qui a décidé de se diriger ou de se réorienter vers un emploi d’avenir.

La FTQ, la plus grande centrale syndicale québécoise, représente près d’un demi-million de membres, dont le tiers sont des femmes. Ainsi, la FTQ représente le plus grand nombre de travailleuses syndiquées au Québec. Elles travaillent dans la restauration, l’hôtellerie, le commerce de détail, la santé, le soutien scolaire, les communications, l’entretien ménager, les bureaux, les caisses populaires, le textile et le vêtement. Beaucoup travaillent à temps partiel ou sur appel, parfois au salaire minimum ou tout près. Toutefois, un nombre grandissant d’entre elles occupent des emplois traditionnellement masculins dans les usines, l’aérospatiale, la construction, la métallurgie, les municipalités (cols bleus) ou le transport.

Source

  • FTQ
  • https://www.ftq.qc.ca

Renseignements

  • Sylvie Lépine, FTQ
  • slepine@ftq.qc.ca

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